Un trou de 60 mètres de profondeurs en pleine ville

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Hundimiento Zona 2 (1), première mise en ligne par Gobierno de Guatemala.
L'incroyable photo de cette doline, effondrement du sol dû à la pluie au Guatemala, dans Guatemala City. 60 mètres de profondeurs selon les information des France24.

A voir sur FlickR l'ensemble du reportage photo de Paulo Raquec sur ces inondations.

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Workshop du portrait au selfie le 25 mai

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Si pour vous le portrait, l'autoportrait et le selfie sont des moyens de capter et de partager un message, de montrer une personnalité, je vous invite à venir développer vos talents lors du prochain atelier, "workshop", qui se déroulera le samedi 25 mai de 14h à 18h à Mons, au 58 route de Bagnols dans les ateliers de l'association "Arts à Mons".

Au menu :  "Se présenter" Un point sur le portrait, l'autoportrait et le selfieCôté Technique : lumière et matériel Côté Atelier : 2 heures de pratiqueDébrief des réalisations 
Réservez : https://www.billetweb.fr/de-lautoportrait-au-selfie?fbclid=IwAR2v2Cfm4zD3So06fRTGhz-A-1T08kN1kycYUlx6eh3cB3XpicGzMoohdI8


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Workshop photo : la nuit du lightpainting et des étoiles le 3 août 2019

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Pour la 2ème année consécutive, je vous donne rendez-vous pour l'atelier photo "Lightpainting" le samedi 3 aout 2019 à 22h00 sur le champs de foire de Brouzet les Alès.

Après une heure de prise en main, nous monterons sur le Mont-Bouquet pour réaliser des dessins de lumière en utilisant le paysage local.

Prévoir trépied, de l'eau, des pulls, des lampes, guirlandes etc.
Infos par mail à yriche @ yadelair.com ou au 06 17 17 17 26


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Un bout du bout du Monde - Fragments

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Quand j’ouvre un livre, je regarde un film, ce que je cherche avant tout c’est de vivre une émotion, une densité, une intensité. C’est passer un temps à prendre l’histoire de quelqu’un d’autre.

Quand j’ouvre mon cœur, je laisse mon écoute s’activer pour recevoir ses émotions et partager les miennes. Parfois même les meilleurs moments résident dans le partage des silences, comme une égalité parfaite entre deux personnes qui n’ont plus le besoin de se parler, la tension subtile qui se noue dans l’air suffit à communiquer.



Quand j’ouvre la porte, je sens l’air frais du matin, humide des temps de pluie, chaud des étés qui durent, tempéré dans les intersaisons. Mes sens et mon humeur s’emmêlent dans l’air, se jaugent, se jugulent, s’apprivoisent.

Ce que j’aime par dessus tout c’est de pouvoir partager du temps. Prendre le temps avec les autres, dans la promenade, voir seul. L’efficacité semble être devenue une norme qui compartimente le temps en tellement de cases que nous perdons ce temps pr…
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